Quand j’étais petite, nous parcourions très souvent les lieux sacrés d’Europe avec mes parents. Avec ma tante géobiologiste, ma mère artiste, passionnée de la beauté des formes, de musique et de cultures et mon père, épris des sciences sacrées et des sagesses ancestrales. Des mémoires vivantes, dès le 17ème et 18ème siècles, tous mes ancêtres ont toujours été exploré la Terre et mon arrière grand-père parcourait déjà le monde, ami des Amérindiens et parcourant les pays d’Asie. Plusieurs dizaines de fois, avec le transsibérien, il se rendra en Corée, Japon et en Chine voyageant avec les étoffes européennes à l’autre bout du monde.

Au delà de cet amour de la découverte de l’autre, ancré dans la famille depuis de nombreuses générations et cet amour de la sagesse des différentes spiritualités et des cultures, j’ai toujours été fascinée par la beauté du monde. Cette terre est un paradis si extraordinaire.

J’ai souvent une conscience très belle qui m’habite en contemplant le monde: je reçois ce monde comme un mariage d’amour entre le Grand Esprit et la Pachamama qui se révèle sur chaque continent, dans chaque région, dans chaque culture, dans chaque sagesse sous un prisme différent et émerveillant.

Et je suis intimement convaincue que la découverte de chaque lieu sacré, de chaque culture et de chaque sagesse est également la proposition pour s’ouvrir intérieurement à toujours plus de dimensions, d’évolution, d’amour et de compassion.

Chaque Terre révèle une fréquence, une culture et chaque culture révèle une sagesse.

Ce mois d’octobre 2021, j’accueillais Ninawa HuniKui, cacique de son peuple. A la suite de nos échanges, je me suis permise de les relayer de manière très simple. Les voici ici à découvrir.